Les Activistes de la SGI Attaquent le Temple Kyoshinji en Permanence

Le relevédes incidents s'étend sur trois ans et comporte plusieurs pages.

Premier rapport des incidents.

23/5/91: Un serpent mort fût lançésur le parking réservéau temple. Au même moment, le toit de la voiture du prêtre fût détérioréàtrois endroits. Le pneu avant droit avait étécoupé.

22/1/92: Entre 8h25 et 8h45 du matin, pendant quinze minutes, quelqu'un sonna la sonnerie extérieure sans discontinuer. Lorsque le prêtre principal répondit enfin, une personne s'exprimant comme un yakusa, invita le prêtre àsortir de manière menaçante. Le prêtre regarda àl'extérieur et vit une camionette rangée en face du temple. Un homme d'environ quarante ans étaitassis au volant. Il lança son moteur plusieurs fois en attendant la sortie du prêtre. Le prêtre sortit pour mieux voir. Le véhicule était une camionette Suzuki aux plaques d'immatriculation jaunes (commerciales), No NANIWA 40 TE 8458. Le dangereux membre de la secte partit finalement. L'emplacement était parseméde mégots dont l'un brûlait encore.

Boutique d'autels Bouddhiques Kongodo: Plusieurs fois (antérieurement àcet article), un certain Mr Naoru Kiyohara de la boutique d'autels bouddhiques Kondoro, adjacente au temple, conduisit àplusieurs reprises sa voiture puis sa moto de manière dangereusement proche, heurtant presque le fils agéde six ans du prêtre principal. Une fois, Mr Kiyohara eut le même comportement envers le prêtre lui-même. Inutile de dire, un tel comportement est un dommage par négligence àla vie humaine, et n'est rien d'autre que des tentatives inhumaines d'intimidation.

Deuxième rapport sur les incidents.

20 October 1992

Début septembre 92: Le propriétaire de la boutique d'autels Bouddhiques Kongodo, Mr Kiyohara, commença àafficher sur les fenêtres de la boutique des inventions offensantes et diffamatoires tirées d'articles du journal Soka Shimpo contre le Grand Patriarche de la Nichiren Shoshu, Nikken Shonin.

Début octobre 92: Mr Kiyohara placarda des slogans tels que: "Renversez Nikken", "Réunion de daimoku pour expulser (le prêtre principal) Aota", "Prions pour expuser le prêtre démoniaque"!!! Tous les mercredis et samedis, une vingtaine de personnes commençaient àse rassembler au premier étage du Kogondo pour réciter daimoku.

11 octobre 92: Quinze membres environ de la SGI se rassemblèrent au premier étage du Kongodo et commençèrent àcrier bruyamment des slogans tels que: "Renversez Nikken"! et "Expulsez Aota"! Ils interférèrent intentionnellement avec les cérémonies se déroulant dans le temple en commémoration de l'anniversaire de la mort du fondateur de la Nichiren Shoshu, Nichiren Daishonin. Àla fin de la cérémonie, les membres de la SGI, armés de vidéo et d'appareils de photos, commençèrent àfilmer et photographier les membres du temple qui sortaient du temple.

Troisième rapport sur les incidents.

Date du rapport original: 2/12/92

1/11/92, Jour de service mémorial du temple. Vingt membres de la SGI se rassemblèrent au premier étage du Kogondo à10h du matin. Ayant ouvert les fenêtres largement, ils récitèrent gongyo, prièrent, puis commençèrent àchanter bruyamment des chansons de Gakkai. Après plusieurs chansons, ils commençèrent àcrier àvoix fortes par la fenêtre, en ch&156;ur, des slogans tels que "Nikken - Aota sont des idiots"!

Au commencement du service mémorial, ils se rassemblèrent devant le temple, levèrent un drapeau tricolore et commençèrent àvociférer àtravers une corne des déclarations telles que: "Nous n'avons pas besoin d'un moine inepte comme Nikken"! "Sortez de ce temple"! "Rendez nous nos contributions"! etc... et manifestèrent dans la rue en émettant àplein volume des chansons enregistrées de Gakkai.

Comme le service mémorial se terminait, ils se tinrent de chaque cotédu portail du temple et tendèrent des tracts contenant des déclarations telles que: "Ne supportez pas le temple"!, aux membres du temple alors qu'ils le quittaient. Ceci fût rapportédans le Chugai Nippo (journal sur les religions hérétiques du Japon aux fortes affiliations avec la Soka Gakkai qui s'est liée àlui dans le but d'offenser la Nichiren Shoshu).

L'après-midi, ils se rassemblèrent ànouveau au premier étage du Kogondo avec d'autres membres et commençèrent àvociférer des déclarations du style:

"Sortez de là! Nous allons expulser Aota! Ei, Ei, Ohh"!

"Nous allons balayer la secte Nikken! Est-ce vous comprenez"?!

"Nous allons balayer Nikken! Nous allons balayer Aota"!

"Sortez de làMAINTENANT"!

"Bannissons Aota pour l'éternité"!

"Est-ce vous comprenez?! Ei, Ei, Ohh!"

15/11/92, Service commémorati pour Nichimoku Shonin. Au milieu du service, des membres de la SGI rassemblés ànouveau comme d'habitude au premier étage du Kongodo, récitèrent gongyo, daimoku, chantèrent des chansons de Gakkai, puis se dirigèrent vers le temple et vociférèrent des déclarations telles que:

"Famille Aota, sortez du temple"!

"Nous allons vous attaquer jusqu'àce que la secte Nikken fasse des excuses àIkeda sensei"!

"C'est une guerre pour exterminer la secte Nikken"!

"C'est une zone de guerre"!

"Nous allons écraser l'organisation du temple dans cette bataille finale"!

"Ne relachons pas notre effort dans l'attaque du temple pour détruire l'organisation"!

"Nous n'allons plus permettre ceci encore"!

Les membres de Gakkai écrirent aussi le nom "Nikken" sur les marches du Kongodo et firent tous les membres de la SGI le piétiner. Puis, ils installèrent une image de Nikken Shonin et collèrent des crackers sur elle. Ensuite, ils la déchirèrent en morceaux et chacun d'eux en mangea une part.

En plus du harcèlement ci-dessus:

1. Chaque jour de 10h30 à11h30, des membres de la SGI se rassemblaient pour harceler le temple.

2. Des membres de la SGI écrivaient des graffitis sur les murs extérieurs du temple.

8. The temple was under constant surveillance by camera clicking SGI

members.

3. Le temple recevait des menaces et des harcèlements répétés par téléphone.

4. Le temple recevait des menaces répétées par cartes postales.

5. Chaque jour, le prêtre principal était suivi par des membres de la SGI.

6. Des sous-vètements féminins étaient lançés dans le temple, accrochés dans le garage et sur des arbres.

7. Chaque membre du temple reçu visite chez lui plusieurs fois. Les membres de la SGI les harcelaient de manière anormale. L'un des membres du temple qui était de constitution fragile, finit àl'hôpital pour un dérangement physique causépar le stress.

Les membres de la SGI commirent les incidents d'obstruction des services du temple ci-dessus dans un total mépris, des attaques sur des particuliers membres du temple, au mépris des droits de l'homme, du harcèlement, de la coercition, en violation des droits constitutionnels de pratique religieuse. Ce sont les circonstances présentes.

Rapport sur les incidents.

Date du rapport original: 9/11/93

21/10/93, chaque jour de 10h30 àmidi, vingt ou trente membres de la Division des Femmes de la SGI se rassemblent au premier étage du Kongodo, étendant des fanions par les fenêtres avec des slogans tels que: "PRIEZ! pour bannir le prêtre démoniaque"!, "Prochaine vie pour Aota"!, et puis elles récitaient daimoku.

3/11/93, trente membres de la Division des Jeunes Hommes de la SGI, dirigés par une personne prétendant s'appeler Kawamoto, pénétrèrent dans le temple et demandèrent àvoir le Rev. Aota. Le Rev. Aota répliqua qu'il ne voulait pas les rencontrer. Ils commençèrent àcrier et àhurler des déclarations telles que: "N'envoyez pas de cartes postales"!, "Sortez de ce temple"! Le Rev. Aota sorti pour leur parler. Ils ne firent qu'hurler des obscénités àson encontre. Il décida qu'il ne pourrait arriver àrien avec eux, alors il leur demanda par trois fois de s'en aller sinon il appellerait la police. Ils ne firent que continuer àhurler après lui. Il leur dit alors qu'il appellerait la police et s'en alla le faire. Ils crièrent: "Qui a peur de la police! Appeler qui vous voudrez"!, Et ils continuèrent àhurler des obscénités après lui. Le Rev. Aota alla dans une autre pièce. Ils se disperèrent alors comme de petites araignées noires de la paume d'une main en courant dans toutes les directions. Le Rev. Aota sorti voir oùils étaient partis. Ils avaient couru vers leurs voitures et camions, sautéàl'intérieur, et s'étaient enfuis rapidement. Deux officiers de police arrivèrent et firent un rapport.

14/11/93, Mme Otani, responsable de la Division des Femmes, et vingt autres membres firent leur programme habituel au premier étage du Kongodo. Puis elles allèrent au temple. Mme Otani, avec sa manière caractéristique, commença àfulminer de manière hystérique. Puisque le Rev. Aota n'était pas présent àce moment là, Mme Otani dit: "Je reviens ici, peut importe combien de fois"! Ce soir là, Otani appela le Rev. Aota et l'entretint de manière hystérique. Le Rev. Aota ne lui répondit pas.

7/11/93, Quarante membres de la SGI vinrent au temple pour protester àpropos des cartes postales qui avaient étéenvoyées àdes membres de la SGI.

En plus de ce qui précède, des membres de la Division des Jeunes Hommes, Matsumoto, Ogiri, Kawamoto appelèrent le temple plusieurs fois en menaçant et harcelant le prêtre. Il y eut six appels téléphoniques oùl(es) appelant(s) resta/restèrent silencieux. Chaque jour, plusieurs cartes postales menaçantes arrivent sans mention du nom de l'expéditeur.

Rapport:

Deux signaux fûrent mis en place sur les murs extérieurs du temple sous la direction de la police et faisant mention d'avertissements de poursuites des violateurs en vertu du code criminel, article 234, pour obstruction d'affaires par la force et pour transgression de la loi.

10/11/93, Huit membres de la SGI transgreessent la loi et harcèlent le prêtre.

11/11/93, Trente et un membres transgressent la loi et harcèlent le prêtre. Deux voitures de patrouille répondent au 110 (police secours) pour assistance. De plus: Douze appels téléphoniques de protestations fûrent reçus. Un appel anonyme.

12/11/93, Huit membres de la SGI transgressent la loi et lancent en criant des déclarations incompréhensibles de nature obscène. Deux officiers répondent au 110. Seize membres de la SGI trangressent la loi et harcèlent le prêtre. De plus, Dix appels de protestation et un appel anonyme fûrent reçus.

13/11/93, Vingt-deux membres de la SGI transgressent la loi et harcèlent le prêtre. Vingt-quatre appels de protestation fûrent reçus.

14/11/93, Vingt-cinq membres de la SGI transgressent la loi et harcèlent. Un officier répond àau 110. Dix emmbres de la SGI transgressent la loi et menaçent le prêtre. La SGI se rassemble au premier étage du Kongodo. Ils ordonnent àd'autres membres de la SGI de pénétrer dans le temple. Deux membres de la SGI transgressent et menaçent le prêtre. Six officiers de police répondent au 110. Sept membres de la SGI transgressent la loi. Plusieurs officiers de police répondent àdes appels supplémentaires. Dix-neuf membres de la SGI transgressent la loi. Un total de soixante-trois membres de la SGI trangressent et provoquent des troubles. De plus, trois appels téléphoniques de protestation et trois appels anonymes fûrent reçus.

15/11/93, Quatorze membres de la SGI transgressent la loi. Ils volent toutes les publications qui se trouvaient sur le comptoir. Deux officiers répondent au 110. Le Rev, Aota dépose plainte pour vol. Sept membres de la SGI transgressent la loi et harcèlent. De plus: Deux appels de protestation et trois appels anonymes fûrent reçus. Le Rev. Aota discuta avec la police sur des questions relatives àla poursuite de particuliers.

16/11/93, trente-cinq membres de la SGI transgressent et se livrent àdes voies de fait et destructions sur le domaine du temple. Le Rev. Aota discuta avec la police des violations perpétrées par des membres de la SGI et reçu des instructions. De nombreuses menaces fûrent reçues par téléphone. Dix membres de la SGI transgressent la loi et harcèlent le prêtre.

17/11/93, Quinze membres de la SGI transgressent la loi et harcèlent le prêtre.

18/11/93, Six membres de la SGI transgressent la loi et harcèlent le prêtre.

Les actions ci-dessus des membres de la SGI fûrent manifestement perpétrées sur ordres de la SGI. Les déclarations telles que: "N'envoyez pas de cartes postales"! et "Sortez du temple"! fûrent souvent répétées.

Source: Rapports écrits par le Rev. Aota, prêtre principal du Temple Kyoshinji, et déposés auprès de la police locale, àpartir de ses rapports faits au Bureau des Affaires Générales de la Nichiren Shoshu.

Kyoshinji Temple

Oaza, 188-10 Mitsushima

Kadoma City, Osaka, Japan

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