Des terroristes de la SGI tentent de
mettre le feu a un temple de la NS

Le 17 Mars 1996, juste apres midi, un incendie se declanche au temple Honsetsuji, dans la ville de Suita a Osaka au Japon. Le Honsetsuji est un batiment d'un etage. L'incendie se declanche au rez-de-chaussee dans une piece d'une grandeur d'un tatami a six nattes. Une commode de vetements est le seul objet dans la piece. Rien d'autre qui puisse allumer un feu.

Vers 11:00 du soir le 16, l'epouse du pretre principal entra dans la piece pour prendre un vetement. A ce moment la, il n'y avait rien d'anormal. Ensuite, juste apres midi, le pretre principal, Ryokudo Takeyasu, de son appartement, fut alerte par une odeur particuliere. Lorsqu'il verifia pour savoir ce que cela pouvait etre, le feu s'etait deja etendu a toute la piece. Il appela sa femme, puis verifia que son Gohonzon etait en securite, et commenca a lutter contre le feu. Les pompiers arriverent et maitriserent l'incendie en un court instant. Par chance, personne ne fut blesse.

L'origine de l'incendie fait encore l'objet d'une enquete. Cependant, les pompiers qui eteignirent l'incendie, declarerent que des traces de carburant, qui avait ete repandu a travers la piece, etaient evidentes. En outre, du fait que la porte d'entree n'avait pas ete verrouillee et que le verrou de la fenetre de la chambre ou avait pris le feu avait disparu permit de conclure avec certitude que l'on etait en presence d'un acte criminel d'incendie volontaire qui avait ete commis par quelqu'un entre illegalement dans le temple.

Avant l'incendie, vers 11:00 du soir, un membre de l'association laique du temple (Hokkeko), qui venait tout juste de quitter le bureau adjacent au temple, vit une voiture rangee devant le magasin de vente d'autels et d'objets bouddhistes, contigu au temple, et appartenant a un membre de la Soka Gakkai, dont les occupants surveillaient apparemment le temple.

Apres l'incendie, de nombreux membres du Hokkeko local etaient venus et s'etaient reunis a l'exterieur du temple dans la rue, et bien que c'etait en pleine nuit, certains appercurent un homme, qui tenait un emetteur-recepteur et transmettait les degats du temple a une personne qu'il appelait "chibucho [responsable de chapitre]." Certains observerent plusieurs autres personnes, sans rapport avec les pompiers, qui circulaient et prenaient des photos de la scene.

Emyo, 16/4/96, page 1

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